Test
1. L’équilibre entre les formations nouvelles et les mots suffixés anciens desparus attestent
a. la faiblesse des la formation suffixale
b. la vitalité de la suffixation
c. l’intérêt pour la composition
d. l’absence de l’intérêt pour la suffixation
2. Le suffixe indique une certaine zone de l’activité humaine. En observant le suffixe – on on peut dire que ce sont
a. linguistique
b. biologie
c. physique et chimie
d. médecine
3. Les termes dérivés en- ose, -ité, -ome ont pénétré de la médecine dans le lexique commun grâce à (au, aux)
a. applications techniques
b. progrès de la pharmacologie
c. vulgarisation de la médecine
d. progrès de l’hygiène et vulgarisation de la médecine
4. Le suffixe est considéré comme un modificateur de
a. l’espèce fonctionnelle
b. la valeur sémantique
c. la classe grammaticale
d. le choix du locuteur
5. Pour former des verbes à partir de la base nominale on emploie le préfixe -a (-ad) qui est maintenant
a. productif
b. non productif
c. semi-productif
d. très productif
6. La création de nouvelles unités lexicales par composition implique la conjonction de
a. deux éléments identifiables par le locuteur
b. trois éléments
c. quatre éléments
d. cinq éléments
7. Les unités préfixés en a- sont essentiellement
a. verbes et noms
b. noms et prénoms
c. noms et adjectifs
d. adjectifs et verbes
8. La majeure partie du vocabulaire français est constituée par
a. des onomatopées
b. des sigles
c. des parasynthétiques
d. des composés et des dérivés
9. La racine des mots est
a. l’élément premier
b. la partie finale du mots
c. la partie initiale du mot
d. l’élément combiné
10. Non- s’ajoute à des unités qui appartiennent à la classe des
a. verbes
b. substantifs et adjectifs
c. verbes et substantifs
d. substantifs