Travaux dirigés
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Travaux dirigés

 

1. Résumez les textes proposés

 

I. LES DICTIONNAIRES ET LA LEXICOGRAPHIE

 

Les dictionnaires sont des objets manufacturés dont la production [...] répond à des exigences d'information et de communication. Leur objet est essentiellement pédagogique puisqu'ils visent à combler l'écart qui existe entre les connaissances de leurs lecteurs et celle de la communauté tout entière, que ce savoir porte sur la langue ou sur la science; ce sont donc des instruments de l'éducation permanente, car ils sont à la fois le livre de l'âge scolaire et celui de l'âge adulte; ils sont le lieu de référence à la langue et à la science.

Si l'on cherche à définir d'une manière plus précise l'objet pédagogique du dictionnaire, on peut dire qu'il «facilite» la communication linguistique, en comblant les lacunes de l'information des lecteurs. Ceux-ci se trouvent à un moment donné dans la nécessité: ou bien de traduire, d'une manière suffisamment satisfaisante, les messages des communautés linguistiques étrangères avec lesquelles ils sont en contact culturel ou commercial: c'est l'objet des dictionnaires bilingues ou pturilingues; ou bien, à l'intérieur d'une même communauté linguistique, de transcoder dans une norme commune les parlers   techniques ou sociaux de groupes socialement ou culturellement différents; le dictionnaire aide à combler la distance entre deux informations différentes, celle du lecteur et celle des auteurs des textes  qu'il doit élucider, en renvoyant à une compétence linguistique commune — c'est l'objet  des dictionnaires techniques et scientifiques, des dictionnaires d'argot, etc.; ou bien, de maîtriser les moyens d'expression par l'analyse sémantique, syntaxique, morphologique ou phonétique de la langue. Le dictionnaire aide à valoriser les comportements verbaux dans une société où ces derniers tiennent une place socialement discriminante: c'est l'objet des dictionnaires de langue (ou dictionnaires uni lingues); ou bien, d'accroître la quantité du savoir des lecteurs grâce aux informations fournies par l'intermédiaire des «mots»: c'est l'objet des dictionnaires encyclopédiques.

 

L'énoncé lexicographique: l'article du dictionnaire

Le dictionnaire est un catalogue de mots, rangés selon l'ordre alphabétique de leurs composants, les graphèmes, et servant d'entrée à des développements [...]. La suite de mots ou nomenclature constitue l'architecture formelle du dictionnaire. Cette sorte d'énon cé que forme le livre s'articule en articles, qui sont les paragraphes, et en phrases, qui sont  les  informations contenues dans chaqut article.

L'analyse de l’énoncé lexicographique soulève deux grands types de problèmes: ceux qui intéressent les règles de composition et de réècriture de l'article et ceux qui intéressent e langage documentaire ou métalangue lexicographique, avec laquelle on réècrit les informations.

L'article est une suite ordonnée de phrases, chacune comportant une ou plusieurs informations: le mot ou adresse forme l'entrée: c'est le thème  ou sujet dont toutes les autres informations seront les prédicats. Mais, en même temps, le mot est à lui-même son propre prédicat, car l'entrée nous informe sur la composition graphique, sur l’orthographe [...]. La prononciation donne la transcription, en un code spécifique (par exemple, celui de l'Association Phonétique   Internationale, A.P.I.), de la manière dont le mot est prononcé hors contexte.

La catégorisation grammaticale donne les traits syntaxiques fondamentaux, c'est-à-dire  'appartenance du mot (que celui-ci soit un rnorphème-racine ou un terme dérivé) à une partie du discours, déterminée selon l'analyse grammaticale traditionnelle: nom, pronom, verbe, article,   adjectif, adverbe, conjonction, préposition, interjection. La partie du discours est suivie de l'indication de la sous-classe de cette même partie du discours: ainsi les noms sont répartis en masculins ou féminins, masculins et féminins (dans ce dernier cas il y a seulement «nom» comme pour enfant, architecte, etc.); les verbes sont répartis entre transitifs et intransitifs; l'adjectif est divisé en deux grandes classes, l'adjectif qualificatif (en ce cas adj. n'est suivi de rien) et les adjectifs pronominaux (en ce cas adj. est suivi de possessif, démonstratif, indéfini, etc.); de même l'article est défini, indéfini ou partitif, la conjonction est «de subordination» ou «de coordination».

L'étymologie indique (a) l'origine supposée d'un mot, c'est-à-dire le terme d'une autre langue qui en est la source, l'étymon (pied; latin pedem, 'pied'), ou (b) les éléments constitutifs et le procédé syntaxique qui sont à l'origine du terme (dérivé de x, de y et de z: blancheur dérivé de blanc; acéphale de privatif et de céphale, du grec kephalê 'tète'). Dans le premier cas, la procédure de formation est marquée : dérivé de, composé de (ou simplement de). [...]

La déflnition est constituée d'une suite de para sy nonymes du mot d'entrée, chaque paraphrase étant un sens ou, dans la terminologie lexicographique, une acception. Ces paraphrases synonymiques peuvent être complétées aussi des termes synonymes ou quasi-synonymes du mot d'entrée, ou des contraires (antonymes), c'est-à-dire des synonymes négatifs. II y a autant d'acceptions qu’il y a de paraphrases synonymes du mot d'entrée qui ne sont pas synonymes entre elles. Ces sens ou acceptions sont distingués dans la métalangue par des numéros, des tirets, des barres, etc. ou par la combinaison de deux de ces signes (numéro + barres). Les «sens» se succèdent selon le rapport (logique, fréquenciel, historique) que l'on met entre les paraphrases synonymiques: tel sens est apparu avant tel autre; tel sens est dérivé «logiquement» de tel autre par extension, restriction, figure, analogie, changement de domaine d'application, etc. [...]

J. Dubois, Cl. Dubois. Introduction à la lexicographie: le dictionnaire.

 

Le domaine du dictionnaire

 

Lexicographie et lexicologie

 

L'activité lexicographique se trouve dans une situation doublement défavorable: d'une part on ne sait pas en quoi elle consiste réellement, d'autre part elle n'offre pas l'intérêt de la nouveauté. Les activités métalinguistiques sont traditionnelles, et depuis les origines du langage, on parle du langage tant sous l'aspect grammatical que lexical. Cependant la grammaire s'est intégrée progressivement à l'ensemble des sciences en donnant naissance à la linguistique, alors que la description du lexique est restée une praxis et un «bricolage».

Certes, il existe une branche de la linguistique, la lexicologie, qui se consacre à l'étude des faits lexicaux. Mais la lexicologie n'a pas trouvé sa place dans la linguistique moderne, faute de bases théoriques suffisantes. Elle est réduite à l'étude diachronique (étymologie au sens large), à l'étude priviligiée de thèmes conceptuels (et en cela elle est onomasiologique qu'on l'admette ou non), ou à la collecte d'observations [...] tirées de corpus, alors que son domaine véritable devrait être la description du lexique d'une langue, tâche qui échoit depuis toujours à la lexicographie. Deux raisons essentielles s'opposent à la naissance d'une lexicologie digne de ce nom, relevant toutes deux des caractères qui opposent la grammaire au lexique. 

 

La compétence lexicale

Les usagers d'une langue maîtrisent leur système grammatical, et l'on peut dire qu'un usager quelconque connaît la grammaire de sa langue, dont les règles, en nombre limité, sont maîtrisables. Au contraire chacun de nous ignore des mots connus du voisin, et vice versa. Aucun usager ne maîtrise le lexique de sa propre langue, parce que le lexique est formé d'un nombre d'items incalculable (très grand et indéterminé). [...] On peut estimer que le lexique d'une langue de civilisation comme le français ou l'anglais dépasse 200.000 mots sans les noms propres, et l'on pourrait probablement atteindre aisément le chiffre de 500.000 mots (par exemple, avec les nomenclatures terminologiques). Or, le vocabulaire de l'usager moyen se situe aux alentours de 20.000 mots. [...1 L'usager moyennement cultivé maîtrise peut-être 1/10 du lexique total — encodage et décodage — et même en envisageant seulement le décodage chez l'usager le plus cultivé, on est encore très loin de l'exhaustivité. Alors que pour la grammaire on peut assimiler tous les usagers à tout usager (n'importe lequel), cette assimilation est impossible pour le lexique. Le lexique n'a de réalité que pour une communauté linguistique — tous les usagers — et non pas pour tout usager. [...] Le lexique est profondément lié à la connaissance du monde, a la différence de la grammaire. [...]

Du point de vue de l'apprentissage de la langue, on constate que les connaissances grammaticales sont acquises assez tôt une fois pour toutes, alors que les connaissances lexicales ne cessent des'en-richir au cours de la vie de l'usager, tant de façon naturelle que mé-talinguistique.

Une telle situation, pourtant, n'empêche pas la communication dans son ensemble. [...] Comme le disent J. Katz et J. Fodor, «pour connaître une langue naturelle, on doit connaître ces règles [grammaticales] mais on n'a pas besoin de connaître plus qu'une petite fraction de son vocabulaire».

Aussi bien quelques linguistes ont-ils conçu la compétence lexicale, pour une langue donnée, comme un sous-ensemble du lexique quantitativement faible et qualitativement important, en décrivant essentiellement leur propre compétence, s'identifiant par là non à tout sujet (on ne peut rien savoir de la compétence minimum) mais à un sujet statistiquement moyen. C'est ce qu'ont tenté de faire Jean Dubois et ses collaborateurs dans le Dictionnaire du français contemporain, un des rares dictionnaires qui tienne compte des théories linguistiques.

Cette notion de compétence lexicale «moyenne» suscite des difficultés théoriques, car elle ne recouvre pas la langue dans son entier; si la description se limite à 1/10 environ du lexique, quel est le statut des 9/10 restants?

[...] Si, pour la grammaire, la compétence abstraite et la compétence de quelqu'un coïcident grosso modo, pour le lexique il y a un abîme entre la première et la seconde, et [...] toute assimilation hâtive fausse les données du problème.

— Or, le projet naïf du dictionnaire est justement de s'approcher dans sa description de cette compétence de «l'usager idéal qui saurait parfaitement sa langue». Le dictionnaire construit pour chacun la compétence: il apprend à tout lecteur des items nouveaux. [Alors que l'objet des grammaires pédagogiques est qualitatif (correct ou incorrect, en d'autres termes, bien formé ou mal formé), l'objet des dictionnaires a toujours été qualitatif et quantitatif. Cet apport d'éléments nouveaux est même l'objet exclusif des premiers ouvrages lexicographiques, qui glosaient les mots difficiles et les mots étrangers. Et la situation actuelle du dictionnaire dans la société montre la continuité de ce projet. II n'y a guère de famille qui n'ait un dictionnaire, alors que les grammaires y sont rares: il s'sgit bien d'avoir sous la main des informations destinées à construire la compétence, et non pas à la décrire (c'est-à-dire à l'expliciter et à l'améliorer).

L'élaboration du dictionnaire échappe donc, dans son principe, à la compétence personnelle du lexicographe, qui se trouva renvoyé au corpus, et à tous les problèmes non résolus de son choix et  de son interprétation (dont la statistique lexicale).

 

La  composante  sémantique

Le linguiste ne dispose actuellement d'aucune théorie sémantique pour décrire le signifié des unités lexicales dans leur ensemble. [...] En utilisant les définitions de dictionnaire, les séman-ticiens ont pris à la lexicographie plus qu'ils ne lui ont apporté, au grand étonnement du lexicographe. L'analyse du contenu, écartée pendant longtemps de la linguistique, et réintroduite récemment, a toujours été l'objet de la lexicographie, et aujourd'hui encore le lexicographe est seul à mener de front cette entreprise ambitieuse, avec les moyens dont il dispose.

Aussi bien, de la lexicologie et de la lexicographie, c'est la seconde qui retient aujourd'hui l'intérêt des linguistes, parce qu'ignorant ou repoussant pour des nécessités pratiques les problèmes théoriques constamment posés, elle construit tant bien que mal un modèle naïf, mais général et qui fonctionne puisque la vente des diction­naires n'a cessé d'augmenter).

 

LE DICTIONNAIRE COMME TEXTE

La compétence métalînguistique naturelle

Aussi peut-on envisager le dictionnaire d'un double point de vue. D'abord d'un point de vue traditionnel, comme un praxis amenant la production d'assertions plus ou moins justes, c'est-à-dire plus ou moins proches des théories linguistiques. De ce point de vue on pourra toujours affirmer que la lexicographie constitue une linguistique «mal» appliquée, constatation banale et caduque, puisque la linguistique, même bien appliquée, n'est pas pour l'instant en mesure de produire un dictionnaire. L'autre point de vue, plus nouveau, consiste à considérer le dictionnaire comme une production, un texte original ayant une fonction de message, et exprimant la pensée métalinguistique naïve propre à une société. On sait que les activités métalinguistiques ne sont pas l'apanage du linguiste: la familiarité de l'usager avec sa langue l'implique. L'énon­cé métalinguistique entre dans le modèle naturel de communication; il possède une fonction d'explication et de désambiguïsation qui assure en dernier ressort la régularité de la communication, et c'est ce rôle effectif qui en garantit la sémanticité.

 

LE PROGRAMME DU DICTIONNAIRE 

La nomenclature

Le dictionnaire est un texte doublement programmé qui engendre un ensemble d'items et des types d'information. Le programme de la nomenclature est l'énumération d'éléments d'un   ensemble  défini. Exceptionnellement, comme dans le cas du dictionnaire d'auteur, le corpus est limité et l'ensemble est défini en extension. Dans tous les autres cas, le corpus est fait d'échantillons, et l'ensemble est défini en compréhension. Le titre de l'ouvrage énonce parfois quel est cet ensemble: par exemple, Dictionnaire de rimes, Dictionnaire des mots sauvages [...], Dictionnaire de la langue française, Dictionnaire d'argot. 

Définition de l'ensemble par l'élément

L'ensemble  défini  en compréhension  est  un  projet  ambitieux puisqu'il présuppose la définition de l'élément. Pour le dictionnaire monolingue de la langue française, il faut définir; 1) la langue française, 2) le mot. Deux problèmes quasi insurmontables pour le linguiste. Pour la langue, il est en effet possible de la caractériser par sa grammaire, mais non par son lexique. Notamment, tout mot étranger emprunté à l'instant même peut s'intégrer à une phrase française; c'est justement la naissance d'un néologisme, si l'opération se perpétue. D'autre part, la langue française est une abstraction, la somme de plusieurs types de langues fonctionnelles qui ne se recouvrent que partiellement, à supposer qu'on se limite à une description synchronique. Pour le mot unité de langue, le problème est d'abord de savoir si l'unité est codée ou non. On forme ad libitum des mots en discours d'après les règles du système. Soit: indonnable, imprêtable que nous inventons ici; de tels mots sont des unités de discours non codées, quoique parfaitement compréhensibles, tout comme insupportable, mot connu de tous. Mais le problème n'est pas si simple, car entre l'unité propre à un seul (discours) et l'unité propre à tous (langue) tous les degrés sont représentés, ces degrés se manifestant dans la fréquence plus ou moins haute de l'unité en discours. Les études de lexique à partir de corpus sont vouées aux calculs de fréquence. Or dans l'état actuel de la documentation préparée par les ordinateurs, les corpus dépouillés qui sont considérables sont loin de nous présenter «tous» les mots (plus le corpus s'allonge, moins il produit de mots nouveaux), et les occurences peu nombreuses de certains mots rendent les basses fréquences peu significatives. Mais si l'on écarte ce problème pratique et en supposant  l'existence d'un immense  corpus  représentatif, le lexicographe  qui entreprendrait une description du lexique se trouverait toujours en face d'unités pour lesquelles il n'a pas les moyens d'affirmer que ce sont des unités codées, des mots de la langue. La notion de mot unité de lexique se perd  dans   le   non-mot,   dans   un   continium   qui aboutit aux unités de discours: c'est là une première cause d'indétermination du lexique qui  exclut théoriquement la possibilité d'une  description exhaustive. D'autre part, la détermination du mot unité de langue est sujette à deux choix successifs. Le premier est le repérage de l'unité syntagmatique (Bon marché vaut-il pour deux mots ou un seul? Pour un seul si on l'oppose à cher, pour deux si on l'oppose à meilleur marché. Le second est le repérage de l'unité paradigmatique qui pose le problème des formes en distribution complémentaire (va/allons, etc.; chien/chienne) et le problème sémantique fondamental de l'homonymie et de la polysémie.

A la première cause d'indétermination du lexique s'ajoutent ces deux autres qui touchent au problème de la répartition des unités. Dans un programme exhaustif de nomenclature aucune limite qualitative ne peut donc être fixée, et aucune évaluation.

Dictionnaire de langue, encyclopédie, dictionnaire encyclopédique

On peut distinguer deux grands types de nomenclatures dans les dictionnaires généraux: celle qui répertorie l'ensemble des mots d'une langue (plus ou moins sélective) et celle qui répertorie l'ensemle des choses d'une civilisation désignées dans une langue donnée (très sélective car l'entrée ne fonctionne pas comme signe lexical, mais comme une entrée documentaire donnant accès à de nombreuses informations sur le monde). Ces deux nomenclatures caractérisent le Dictionnaire général d'une langue et L’Éncyclopédie universelle. La nomenclature d'une encyclopédie signifiant des choses, les entrées y sont des noms ou des mots intégrés dans un syrtagme nominal, au niveau d'usage. Ce caractère nominal est renforcé par l'apparition des noms propres et par la présence d'illustrations dont la légende est nominale [...]. Bien qu'une telle encyclopédie soit qualifiée d'universelle, elle est toujours orientée dans son contenu, et surtout par les noms propres. Lorsque les items deviennent de moins en moins «importants», l'arbitraire joue comme dans le lexique mais ici en faveur d'une civilisation priviligiée.

La nomenclature du Dictionnaire général d'une langue présente, elle, toutes les parties du discours, exclut les noms propres et ne donne pas d'illustrations. Comme une entrée non nominale est forcément autonyme dans la lecture de l'article, tout dictionnaire général dont la nomenclature présente d'autres parties du discours que des noms peut être considéré comme un ensemble de signes.

La présence de mots grammaticaux dans le dictionnaiie de langue et celle des noms propres dans l'Encyclopédie représente les deux pôles de ces types de nomenclature. En effet, le réfèrent du mot grammatical n'existe pas, et le signifié du nom propre n'est pas le signifié linguistique. Le nom propre réfère à un objet particulier unique, identifiable dans le monde sans aucune ambiguïté: il n'y a pas de définition pour le nom propre, mais seulement le repérage (comme on identifie par les empreintes digitales). Le Dictionnaire encyclopédique réunit en un seul texte ces deux types de dictionaires: l’ensemble du lexique (avec toutes les parties du discours) et l’ensemble des choses ( avec les noms propres et les illustrations). Ce qui pose évidemment un problème quant à l’homogénéité de l’information.

J. Rey-Debove. Le domaine du dictionnaire // Langages. – 1970. № 19.