RECOMMANDATIONS METHODIQUES
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RECOMMANDATIONS METHODIQUES

 

Méthodes de travail

 

I. Comment organiser son travail dans la classe

 

Le cours dispensé par le professeur est la base fondamentale du travail. Cependant l’écoute ne suffit pas aussi attentive soit-elle, la prise de notes est indispensable pour retenir l’essentiel. Le travail personnel de mémorisation et d’approfondissement s’impose ensuite. La connaissance et l’application de quelques règles simples rendent chacune de ces étapes plus efficace.

 

Prendre des notes:

 

  • Laisser une marge importante.  La place laissée ainsi libre sert à noter des digressions du professeur, les réflexions personnelles, les ajouts lors du travail de relecture, les conseils de méthode.
  • Mettre en évidence le titre ainsi que le plan du cours en décalant régulièrement les titres de paragraphes et sous-paragraphes. Chaque élément distinct doit faire l’objet d’un retour à la ligne.
  • Classer les paragraphes: A 1 a)/A 1 b)…
  • Souligner les titres, les notions définies, les faits essentiels et les noms propres sur lesquels le professeur a particulièrement insisté.
  • Encadrer les définitions.
  • Employer un cahier de grand format.
  • Ecrire vite… mais pouvoir se relire.
  • Utiliser des abréviations: qq=quelques, cad:c’est-à-dire, cpt:cependant, mt:ment, t:tion, me:isme

Les abréviations permettent de gagner du temps, surtout lorsqu’il s’agit de prendre des notes à partir d’un entretien oral, d’une émission radiophonique ou télévisée d’un cours. On a intérêt à connaître les abréviations usuelles, qui sont une sorte de code universel. Mais on adoptera inévitablement ses propres abréviations pour les mots courants, en se créant ainsi une sorte de petit «code» personnel. Les notes doivent toujours être très «aérées» et si possible bien présentées du point de vue typographique! Les notes sont toujours destinées à être «relues».

  • Utiliser les symboles:

Mathématiques: => conséquence, < =  > réciprocité, = équivalence, C appartenance, + avec, - sans, =semblable à, ~ approximativement, ≠ différent de. Pour indiquer la négation, on barre le symbole;

  • Biologiques:   femme,  homme;
  • Directionnels: N nord, S sud, E est, O ouest.

 

II. Travailler chez soi

  • Accorder de l’intérêt au travail entrepris permet d’apprendre plus rapidement et d’approfondir réellement les connaissances. La mémorisation pure et simple, étape nécessaire, n’est pas le but essenteil de l’étude. La réflexion et le questionnement assurent l’assimilation et le réinvestissement, c’est-à-dire l’acquisition d’une culture.
  • Se fixer des buts précis à court et à moyen terme: la réussite au prochain contrôle, la pratique plus aisée d’une méthode…
  • Se concentrer: s’éloigner des distractions possibles (fenêtre, téléphone, radio…). S’installer confortablement sur une table.
  • Gérer son temps de travail et de loisirs de manière rigoureuse, planifier son travail sur plusieurs jours.
  • Travailler par séquence d’une demi-heure ou d’une heure et s’accorder quelques instants de «récréation» pour se détendre…
  • Eviter la précipitation! Ne jamais attendre la veille pour s’y mettre!

 

Apprendre

Vérifier les notes prises au cours

  • Ce travail doit être entrepris le plus tôt possible après le cours pour que la mémoire auditive puisse encore jouer son rôle.
  • Le manuel est, dans cette phase de relecture et de contrôle, un outil indispensable, lire le chapitre se rapportant au cours.
  • Vérifier l’orthographe des noms propres et les localisations.
  • S’assurer que les définitions prises en cours sont correctes; préciser si besoin est; vérifier le sens des mots difficiles ou nouveaux.
  • Repérer ce qui n’est pas vraiment compris et poser des questions au professeur… avant le jour du contrôle ou du devoir.

 

Résumer l’essentiel

Pour faciliter la mémorisation plusieurs procédés sont commodes.

  • Le plus usuel est la constitution de fiches.
  • S’il s’agit d’un enchaînement logique, d’un phénomène compexe, d’une structure… . Un organigramme clarifie les connaissances; schéma linéaire pour un enchaînement causes/conséquences, organigramme circulaire pour un phénomène cyclique, organigramme pyramidal pour tout système hiérarchisé, organigramme systémique pour représenter une réalité comples.

 

Compléter le cours

  • Le manuel est, là encore, l’instrument fondamental du travail.
  • Utiliser la marge pour de courts ajouts, sinon constituer une fiche.

 

Mémoriser la leçon

Il s’agit de retenir l’essenteil: les faits importants, leur articulation, le plan.

Tout de suite après le cours:

  • Mettre au propre les notes et les vérifier, rédiger les fiches
  • Apprendre par coeur les définitions de base, les localisations importantes, les ordres de grandeur.
  • Apprendre à haute voix pour aider la mémoire visuelle.
  • Réviser (cahier fermé!) seul ou avec une autre personne attentive, curieuse et critique.
  • Ensuite: la veille du contrôle ou du devoir, réviser.

 

Constituer une fiche

Selon l’objectif choisi, on distingue plusieurs types de fiches:

  • Les fiches de mémorisation du cours qui visent à apprendre et à réviser plus rapidement;
  • Les fiches d’approfondissement  qui complètent le cours ou qui stockhent des informations supplémantaires (fiches sur un film, un livre, une visite de musée, un acticle de journal).
  • Elles doivent répondre à des objectifs communs: la clarté, le classement, la mise en valeur de l’essentiel. Là encore des règles de présentation s’imposent, partiellement conformes à celles de la prise de notes:
  • Rédiger une fiche par thème;
  • N’écire que sur le recto;
  • Utiliser toujours le même format, pas trop petit;
  • Repérer l’lessenteil par des encadrement, des couleurs;
  • Aérer le plus possible!

Ces fiches constituent une banque de données facile à utiliser en toutes circonstances. 

 

Une fiche type

 

Titre, source, date

Mot-clé (thème principal)

Marge (compléments, chiffres, définitions…)

 

 Idée générale-problèmatique 

 

 I Plan complet avec idée principale de chaque partie 

 

 II 

 

 III 

 

 Conséquences-problèmes

 

 Thème complémentaire

 

 

III. La lecture rapide

Savoir lire rapidement est devenu une nécessité. L’entraînement à la lecture rapide ne nuit pas à la compréhension  ni à l a mémorisation: au contraire, il les améliore. Les connaissances progressant à un rythme prodigieux, chaque homme sera tenu, après ses études, d’assimiler par la lecture une somme considérable d’informations. Le munir  d’une technique de lecture rapide, c’est lui permettre de mettre constamment à jour son savoir.

 

Comment lisons-nous?

 

L’entraînement à la lecture rapide repose tout d’abourd sur une parfaite connaissance des mécanismes de la lecture courante. 

Lorsque nous lisons, notre oeil ne se déplace pas de manière continue, d’un bout à l’autre de la ligne, mais en «sautant» d’un groupe de mots à un autre.

Chaque arrêt s’effectue à partir d’un «point de fixation» (en général situé au centre du groupe ainsi isolé) et dure environ ¼ de seconde. Le passaage d’un arrêt (ou «fixation») à l’autre 1/40e de seconde. C’est le temps de «saut visuel» durant lequel la vision ne s’exerce pas.

La différan ce entre un lecteur lent et un lecteur rapide ne prvient pas de la rapidité de déplacement de l’oeil, ni de la durée de l’érrêt (fixation), mais de la prtion de signes perçue durant la durée de la fixation. Soit un à deux mots pour un lecteur lent et cinq à dix mots pour un lecteur rapide : un lecteur prodige peut lire dix à vingt mots et plus par  fixation.

Tout entraînement à la lecture rapide aura donc pour objectif d’augmenter (par des moyens appropriés) ce «champ visuel».

 

Comment améliorer sa vitesse de lecture?

 

Il faut s’exercer à « lire des yeux » et non oralement (en prononçant le mot pour le reconnaître et le comprendre). Ne plus ‘ »chuchoter », de façon à réduire au maximum la durée de transmission.

Il faut s’exercer à reconnaître les mots d’après leur forme et leur aspect. Ainsi des termes comme élléphant ou alligator ont une « allure », une sorte de physionomie particulière qui permet de les identifier rapidement. Le rôle des consonnes doubles n’est pas négligeable dans qces « reonnaissances ».

Des exercices appropriés facilitent cet entraîenment. Par exemple, le travail sur des mots parmi lesquels se trouve un « mot-clée » qu’il s’agit de repérer le plus rapidement possible. Nous ne devons pas déchiffrer les mots syllabe par syllabe, mais les « reconnaître » « comme la vigie reconnaît un bateau aux cheminées » (Alain).

Il faut élargir le champ de vision, c’est-à-dire s’entraîner à percevoir plus de mots à chaque fixation : cet apprentissage aura pour conséquence de diminuer le nombre de points de fixation par ligne (trois, puis deux, puis un…), donc d’augmenter directement la vitesse de lecture.

Il est établi que nous retenons plus aisément les ensembles de mots possédant un sens global. Un bon entraînement exige que l’on commence à s’exercer sur des phrases « découpées » en fonction de ce critère.

Lire, c’est toujours anticiper : tout lecteur devine plus ou moins ce qui va suivre : il s’attend à certains mots, à certaines tournures.

On pourra ainsi s’exercer à retrouver les mots manquants d’un texte en s’aidant du contexte. L’aisancez d’un lecteur se mesure à la facilité qu’il a de retrouver ces mots manquants. La faculté d’anticipation permet d’accroître la rapidité de lecture. On appréciera la vérité de cette remarque de Jeant-Paul Sartre : « En lisant, on prévoit, on attendm. On prévoit la fin de la phrase, la phrase suivante, la page d’après ;  on attend qu’elles confirment ou qu’elles infirment ces prévisions. »

Un lecteur mal entraîné a du mal à « avancer dans le texte » ; il lui faut sans cesse revenir à son point de départ afin de mieux comprendre le sens global de la phrase qu’il est en train de déchiffrer. D’où une perte de temps condisérable et une baisse de l’intérêt. Il faut donc s’obliger à « éviter » les retous en arrière (à l’aide d’un « cache » ou de tout autre moyen), pour augmenter la vitesse et l’efficacité de la lecture.

La mémoire immédiate joue un rôle important dans la lecture ; la capacité de stockage dans cette mémoire varie selon les individus (environ quinze mots pour un lecteur non entraîné et 30 mots pour un lecteur rapide). Tout entraînement susceptible d’augmenter ce « stockage » » en mémoire a des effets bénéfiques sur la vitesse de lecture, ainsi que sur la compréhension.

On cherchera à exclure la concentration trop forte, la crispation, ainsi que leurs contraires, la distraction, la dispersion de la pensée. Une lecture efficace est aussi une lecture  « flexible » : elle doit pourvoir adapter son rythme au type de texte : (roman, documentaire, thèse…), et à la difficulté du texte.  

    

IV. Repérer une information

 

Nous sommes souvent amenés à rechercher un renseignement précis, une réponse aussi « documentée » que possible à une question que nous nous posons. Une telle lecture – qui peut être définie comme une recherche d’information – nécissite une attitude active. En premier lieu, le type même de l’information recherchée va déterminer notre support de lecture. Nous ne trouverons pas dans les mêmes ouvrages une information sur la langue. Chacun de ces différents supports possède ses propres systèmes de repérage qui permettent, grâce à une recherche rapide de « pénétrer » dans l’ouvrage jusqu’à l’information recherchée. Les itinéraires qui permettent la circulation dans le texte varient avec les supports considérés. En voici quelques-uns.

 

                   Supports

                    Itinéraires

Journal

La première page : le sommaire.

Ouvrage didactique (livre scolaire

La table des matières ; les index

Roman

Tables des chapitres et ses titres.

Dictionnaire

Le classement alphabétique.

Encyclopédie

Le classement alphabétique ; les index

 

 

 

On ne trouvera aisément l’information recherchée que si l’on sait quelle rubrique explorer. Pour ce faire, il importe de bien définir le cadre de la recherche. Si nous voulons, par exemple, connaitître de façon détaillée la structure de la maison à l’aide d’une encuyclopédie, nous devrons consulter l’article Construction plutôt que l’article : maison. Des « outils » peuvent nous y aider: consultation d e ‘index-matières, qui nous indiquera où chercher (article précis) et nous donnera en outre des pistes complémentaires. Le lecteur, ayant l’objectif de s’informer sur un point précis,   devra étre capable de ne pas tout lire, mais d’explorer son texte en éliminant  tout ce qui ne l’intéresse pas. Grâce à la table des matières, par exemple, il est facile d’accéder rapidement au chapitre ou à l’endroit où se situe l’information espérée. Après quoi, on procédera à une lecture approfondie du passage ainsi isolé. Pour trouver une information on se servira de deux techniques éprouvées de selection : la détection ou la découverte. Elles correspondent à deux cas différents:

 

                Détection

                          Découverte

Premier cas:

La nature de l’information est déjà connue : retrouver une adresse.

Second cas:

La nature de l’acte de l’information n’est pas préalablement connue.

Il suffit d’un « balayage » rapide qui s’efforcera de faire coïncider un mot-clé

(le nom d’une personne avec l’information qui le concerne.

Il faut savoir où trouver ce que l’on cherche et comment procéder : interrogation du texte-sélection –identification de l’information.

Exemples : retrouver une adresse, un numéro de téléphone, repérer une petite annonce ; consulter un annuaire, un  dictionnaire, une carte routière…

Exemples : explorer un ouvrage, dictionnaire, encyclopédie, un dictionnaire de citatation…

 

V. Prise des notes 

 

Le but de la prise de notes est de faciliter l’enregistrement et la conservation, en mémoire, des données importantes d’un document. Souvent, elle perd de son intérêt et de son efdicacité à cause d’un manque d’organisation et de néglicences matérielles. Ainsi, on évitera d’utiliser des « feuilles volantes », car elles seront bientôt égarées. On leur préférera des supports stables : le meilleur semble être le système du « fichier » qui permettra la conservation des fiches cartonnées et que l’on pourra consulter à tout instant. Eviter d’écrire au verso des fiches. Certains préféreront un cahier solidement relié. Il faudra noter soigneusement toutes les indications qui permettront de «retrouver» facilement l’article, le thème dont il traite, l’auteur, l’ouvrage ou le journal d’où cet extrait provient.

Effectuer d’abord une lecture silencieuse et rapide afin de bien coprendre l’article ou le chapitre, savoir de quoi il traite et ce qui est dit globalement. S’il existe, le chapeau d’introducqtion ssitué sous le titre principal , permet d’avoir une idée générale du thème traité, du ton de l’article. A l’intérieur de l’article : lire les titres et les sous-titres. Après cette première « prise de contact » assez rapide avec le texte, une seconde lecture s’impose. Le rythme sera plus lent : il ne s’agit plus de « balayer » le texte , mais de lire attentivement afin d’en retenir l’essentiel. On prendra des notes au fil de cette lecture, de la manière suivante :

  • S’efforcer de distinguer d’abord la progression du texte
  • Donner un tite bref à chacune de ces étapes ; puis, à l’intérieur de cette ossature, sous chaque rubrique et en suivant le fil du texte, inscire des notes sous forme variée. Relever un mot du texte ou une expression frappant l’attention, importanteà retenir. Résumer à l’aide d’un mot personel d’idée-clé d’un passage.
  • On peut aussi parfois ajouter sur la fiche de brefs commentaires personnels. Des renvois à d’autres oeuvres – dont on se souvient par associations d’idées – pourront également être utiles. Il ne faut cependant pas abuser des commentaires, qui doivent toujours être très breset rédigés en style télégraphique, avec des abréviations. 

 

VI. Comment faire une dissertation

Une dissertation est un devoir correctement rédigé qui consiste à organiser avec méthode des connaissances sur un sujet donné. Il est utile de procéder par étapes au cours de la préparation et de la rédaction.

 

Préparation

  • Comprendre le sujet

Cette première étape consiste à le questionner (où, pourquoi, comment). Il faut réfléchir au sens des mots,dégager les notions-clés et trouver les bornes spatiales.

  • Explorer le sujet

Sur une feuille de brouillon, cela revient à inscrire les idées (de préférence sous

forme de questions) telles qu’elles viennent à l’esprit. On mobilise ses connaissances en s’efforçant déjà de les classer, en les regroupant par thèmes.

  • Dégager une problèmatique

Cette troisème étape revient à transformer l’ensemble des questions déjà notées en une seule interrogation. Cette question ou problèmatique va constituer l’idée directrice du devoir. 

  • Trouver un plan

Il faut traiter la problématique en construisant une réponse argumentée et détaillée : le plan en est l’ossature. Il indique les idées principales qui constituent

les grandes parteis de la dissertation. Et à l’intérieur de chaune d’entre elles, au brouillon, il faut prévoir les sous – parties qui finalement expliqueront et développeront l’idée maîtresse annoncée au début de toute partie.

 

Rédaction

  • Rédiger l’introduction au brouillon

Elle est particulièrement importante et doit impressionner favorablement le correcteur, qui vérifie à ce moment si vous avez compris l’essenteil du sujet. Elle comprend 3 éléments:

  • L’entrée en matière ou préambule (lintroduction de l’introduction); c’est notamment l’occasion de définir l’espace étudié.
  • L’analyse du sujet (exposé de la problématique);
  • L’annonce du plan (indication des thèmes principaux du devoir).

 

Rédiger la conclusion au brouillon 

Elle est l’éboutissement du raisonnement. Ce n’est pas un résumé de la dissertation, mais celui de ses résultats. C’est donc un blan, qui apporte une réponse à la problématique définie dans l’introduction. Elle peut ensuite ouvrir sur des perspectives plus grandes : c’est l’élargissement du sujet.

 

Rédiger directement le développement du devoir sur la copie

Si le plan an brouillon est suffisamment détaillé, on peut en effet rédiger directement aupropre les deux grandesparteis qui constituent habituellement le développement. C’est ce qui permet de travailler plus vite, quand on doit disserter en temps limité.

Terminer chacune des grandes parteis par une conclusion partelle, appelée transition, qui résume les résultats de l’éargumentationd e chaque partie et annonce la suivante. Relire l’ensemble et corriger les fautes

 

Nom groupe    

Prénom Date

Note:

Observations

1

Sujet: «1»

 

2

3 Оооооооооооо

Оооооооооооооо

Оооооооооооооо 4

 

2

3 Ооооооооооооо

Ооооооооооооооо 5

Ооооооооооооооо

 

2

3 Ооооооооооооо

Ооооооооооооооо 6

Ооооооооооооооо

 

2

3 Оооооооооооооо

Оооооооооооооооо 7

Оооооооооооооооо

 

 

1.dans la mesure du possible, ne jamais écrire dans la marge.

2.aérer en laissant une ou deux lignes.

3.marquer le début de chaque paragraphe en faisant un retrait.

4.faire une introduction.

5.exposer le thème principal de la première partie.

6.développer dans chacun des paragraphes ou sous-partie un seul aspect du thème principal.

Conclure la première partie.

 

Rédiger une fiche lexicologique

 

Suivez le modèle suivant :

  • Date d’apparition du mot en français
  • Etymologie
  • Classe grammaticalede du mot
  • Domaines d’emploi du mot
  • Classement des sens selon les différents domaines (définition + synonymes)
  • Extension du sens (valeur la plus large du mot)

 

Rédiger une fiche de lecture

 

La principale qualité d’une fiche de lecture est sa clarté et sa lisibilité. Soigner en conséquence la présentation, qui sera uniforme pour toutes les fiches. Noter les références précises de l’ouvrage

 

Exemple:

 

  • Titre du livre?
  • Nom de l’auteur?
  • Date de première publication?
  • Edition utilisée? 

Les lettres de mon moulin

Alphonse Daudet

1869

Gallimard (coll. Folio)